Les aventures d'Oboron : La Taverne de Hurlevent

Salutations la guilde, tremblez mortels, ayez peur, suintez l'angoisse, tâter vous le poul, respirez profondément, affrontez la terreur......MouahaHHHAHAHHHA!!!!!!!!!!!!..............

euh.. hum.... pardon.... je disais donc salutations. Le seigneurial Oboron et son collègue alcoolique et claudiqueur qui claque les clampants à coups de claymore ( Raymond Devos! sors de ce corps si tu m'entends) , sont de retour dans une aventure prête à défriser le plus résistant des jackon five ( c'est évidemment pas Michaël, s'il était résistant , ne serait-ce qu'au lavage...) , tenez vous prêts, cramponnez vous, ( pas trop quand même...) l'aventure commence.

Nous étions donc dans les douves d'Hurlevent sous prétexte qu'Uku avait perdu ses clés et son épée, la fameuse épée d'Uku ( cherchez bien le jeu de mot d'une subtilité admirable, à défaut du jeu de mot, cherchez ses clés, parce que là c'est triste....). Pour expliquer cette situation inhabituelle, il faut simplement rappeler qu'une auberge a ouvert ses portes dans le quartier des nains d'Hurlevent, et qu'Uku avait camper deux jours à l'avançe pour avoir des places ( en fait, cette détermination est la version officielle, c'était surtout parce que par chance ça faisait deux jours qu'il pionçait là pour cuver sa gnôle) et que, niveau alcool, il a directement le droit au backstage. Comme je l'avais dit précédemment aussi , la bagarre a éclaté au bout d'un moment (faut dire que pour préparer le terrain il passait deux tables en tables, demandait aux gens " Tu connais Hurlevent ? " et qu'il leur rotait au visage , dans un bruit si fort qu'on aurait pu le prendre pour un hurlement, et qu'il joignait à ceci quelques vents de sa composition.) .
Quelques humains soixante dix élite dont la patience et la tolérance à l'égard des explications étymologiques naines sur leur capitale s'était vue mettre à rude épreuve, prirent la décision de lui expliquer qu'Hurlevent c'était un parc, que le tram était une attraction et que lui il pouvait pas la faire et qu'il pouvait retourner avec sa pioche et son rateau dans je ne sais trop quel conte où ils sont septs et sauvent une jeune idiote qui s'était faîte avoir sur la qualité des fruits par une dame d'un certain âge qui manquait visiblement de discernement sur la qualité de ses produits.
Toujours est-il , que mon camarade d'humeur grincheuse (C'est un jeu de mot épique que j'ai looté dans une instance de l'humour avec Jean Roucas) leur rétorqua qu'ils n'avaient pas peur d'eux et qu'il avait comme ami un terrible guerrier de la justice avec lui et pour appuyer ses dires il me désigna du doigt, doigt qui fut accompagné de tous les regards hostiles des humains. Pris au dépourvu et voulant passer inaperçu, je me décidais à entamer un numéro de /danse folkorique draeneï tout en chantant comme si j'étais le numéro principal d'un spectacle présenté à la taverne.
Malheureusement ils ne furent pas dupes (l'armure en plaque sûrement) et nous emmenèrent par la peau de mon camarade faire un tour dans les douves et pour cette attraction là je fus triste de me rendre compte qu'il n'y avait pas la charmante petite barque et les petites poupées insupportables qui chantent que le monde est merveilleux et que si l'on se tenait tous la main, on pourrait faire une ronde tout autour de la terre.
"J'en ai marre de me faire jeter, z'ont pas d'humour les surdéveloppés des jambes, sur développés de mon....

-non, non te sens pas obligé l'interrompai-je, c'est moi qui en est marre de passer mes nuits dehors.

-Et alors me dit-il avec un grand sourire satisfait de sa bêtise ivrogne, t'aime pas dormir dans NAarue?

Nous nous esclaffâmes et commençâmes à nous relever. Il s'écria tout à coup " @!%ù¨= ( je ne fais que respecter la censure d'usage) , j'ai droppé mes clefs et ma lame.

Et c'est ainsi qu'à l'aube, les guets de la ville ( au passage j'avais formellement interdit à mon camarade de faire un jeu de mot là dessus) nous retrouvèrent les mains dans une eau enrichie en oligo-excrements en train de chercher, avec à côté de nous mon Elec qui nous regardait avec son regard souriant et affectueux, sa couleur mauve très viril (qui plût beaucoup aux guets d'ailleurs) et son expression absente de mob.
La première chose qu'ils nous demandèrent c'est comment on avait bien pu jeter un élec dans les douves.
"Vous savez répondit le nain avec une bonne trique l'elec il va partout, c'est une question d'"elec"/"trique"
Nous dûmes nous expliquer en geôle de la situation,( et heureusement pas des jeux de mots bas d'Uku )où on nous salua d'un collégial "vous nous manquiez les gars!!!!!!"

Tout ceci ne fit que déporter mes grands projets d'invasion d'Orgrimmar mais je me consolais en voyant mon camarade Uku en train de montrer la partie la plus intelligente de son anatomie aux guets de Hurlevent, afin de montrer avec diligence son esprit contestataire. Je me premis de le prévenir que montrer ceci aux guets ne risquaient pas de les vexer mais peut-être l'inverse.

Nous désaoûlâmes en attendant une autre aventure....